Comptoir de la boutique

Il était tôt, sans doute un peu moins de 8h, il faisait soleil, mais la température n'était pas vraiment haute. La vendeuse venait d'ouvrir la grille de sa boutique. Elle se rendit ensuite à l'arrière du magasin pour mettre en route l'électricité et le chauffage. Une fois ceci fait, elle rangea ses affaires personnelles dans la réserve et se vêtit de sa tenue de travail. Ça y est, elle était prête à travailler. La jeune femme ne sachant pas quoi faire, elle se décida à aller ranger le dernier carton de vêtement qu'on lui avait livré. Elle était donc en plein rangement, en attendant un éventuel client qui, elle espérait, n'allait pas tarder...

Dartanx entra dans la boutique l'air zen, il marcha dans les rayons du magasin, faisant mine de regarder chaque vêtement, en réfléchissant dans sa tête comment réussir le braquage, au bout d'un moment, il se sentit un peu honteux quand il se rendit conte que, depuis un quart d'heure, perdu dans ses esprits il fixait le rayons "Lingerie", pour ne pas perdre d'avantage de temps, il se tourna vers la vendeuse, sorti ses deux fidèles pistolets, visa la vendeuse, et dit "Je voudrais une dizaine de tenu d'écolier!"

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Edit Meredith : Merci de mettre les paroles en gras ou en couleur

Un client entra enfin dans la boutique, la vendeuse lui offrit son plus beau sourire et se prépara à lui offrir son aide, jusqu'à ce qu'elle l’aperçoive filer au rayon lingerie... Elle attendit donc patiemment que le jeune homme en ressorte. Un quart d'heure plus tard son client lui demanda enfin de l'aide, ou plutôt lui ordonna, en la menaçant avec deux pistolets, de lui fournir une dizaines de tenues d'écolier.

- Bonjour monsieur. Je suis navrée, mais tout cela à un prix. Je ne suis pas du genre à me laisser marcher sur les pied. En deux secondes j’enclenche le bouton situé sous le comptoir qui appellera directement la police.

Dartanx s’arrêta net, c'était la première fois que quelqu’un osait le contredire, de toute façon lui non plus n'était pas du genre à se laisser marcher sur les pieds, pour ne pas subir un échec de son plan, il tira sur le bouton servant a contacter la police, le rendant alors inutilisable, il rit au éclat pendant cinq minutes au moins, il reprit finalement son sérieux et dit "Il ne s'agit pas de vous marcher sur les pieds, mais de vous coller deux balles au milieux du front, alors maintenant donnez moi ces tenues! "

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Edit Meredith : attention aux fautes d'orthographe :$

Le client détruit soudainement le bouton servant à alerter le commissariat en tirant dessus... Il émit ensuite un rire sadique. La vendeuse baissa les yeux en soupirant, elle devait trouver une solution. C'est alors que le sombre arrivant lui dit cruellement :

- Il ne s'agit pas de vous marcher sur les pied, mais de vous coller deux balles au milieux du front, alors maintenant donnez moi ces tenus!

- Vous oseriez tuer une jeune femme sans défense ? Et bien dans ce cas allez y, si vous préférez être un lâche. Ces deux pistolets, vous avez bien dû les payer ? Alors c'est pareil pour les tenues, vous les voulez alors vous les payez !

Elle s'assit ensuite calmement sur sa chaise, défiant son agresseur du regard. Il l'avait mise en colère, elle n'allait pas céder.

Voyant que la femme n'allait pas lâcher l'affaire Dartanx garda son sang froid....
-Ses pistolets, sont la fortune Familiale des Death, Mais bon, je n'ai pas envie de les utilisés.... Je vais payer...Oh Mon dieu qu'est-ce-que c'est ça!?
Profitant que la vendeuse regardait l'endroit qu'il pointait du doigt, il ouvrit discrètement la caisse et prit l'argent nécessaire....
-OH ce n'était rien que..... Un chien dit-il en rigolant, Voilà l'argent! rigola-t-il en arrachant les habit de la main de la vendeuse, et il partit en courant.....

-Ces pistolets, sont la fortune Familiale des Death, Mais bon, je n'ai pas envie de les utiliser.... Je vais payer...Oh Mon dieu qu'est-ce-que c'est ça!?

La vendeuse tourna soudainement la tête, mais elle ne vit rien. Elle eu beau s'approcher au maximum de la direction indiquée par le malfaiteur elle n'y vit rien d'étrange. Elle reporta donc son attention sur le braqueur, celui-ci lui prétexta n'avoir vu qu'un simple chien, lui donna une poignet de billet et se sauva. Ce n'est que quelques minutes plus tard qu'elle réalisa que c'était son propre argent, celui de sa caisse restée ouverte, que le jeune homme lui avait donné...